24 Août No plastic in my sea
Le projet : #NoPlasticChallenge : engager tous les acteurs dans la réduction du plastique inutile et toxique
A propos de l’association
Organisme : No Plastic In My Sea
Responsable Projet : Muriel Papin
43 bis rue Carnot, 92100, Boulogne
A propos de l’association
Organisme : No Plastic In My Sea
Responsable Projet : Muriel Papin
43 bis rue Carnot, 92100, Boulogne
No plastic in my sea en quelques mots
L’association No Plastic In My Sea lutte contre la pollution plastique à la source, dès la phase de production et de consommation. Nous accompagnons tous les acteurs dans la prise de conscience des impacts environnementaux et sanitaires du plastique et la réduction de leur empreinte plastique.
Présentation du projet
#NoPlasticChallenge : engager tous les acteurs dans la réduction du plastique inutile et toxique
Pourquoi ?
Il n’y a aucune issue possible à la pollution plastique si on ne « ferme pas le robinet », comme l’a rappelé la Directrice de l’ONU environnement. L’étude “Breaking the plastic Wave” de Pew Charitable Trust l’a objectivé : la réduction et le réemploi auront plus d’impact sur la pollution plastique que le recyclage (30% versus 20%).
Comment ?
Accélérer la transformation des modes de production et consommation, au-delà de la loi : faire pression pour réduire les plastiques à faible utilité et fort risque de pollution.
Trois modes d’actions :
1/ un événement de mobilisation de 15 jours qui incite positivement à la réduction du plastique :
Le No Plastic Challenge permet de :
– mesurer son usage de plastique via un outil interactif
– le réduire sans culpabiliser grâce à 15 éco-gestes
– le faire savoir pour transformer la norme sociale.
L’événement est :
– ouvert à tous : aux consommateurs, médias , écoles, entreprises, clubs de sports, collectivités.
– clé en mains avec de nombreuses ressources et visuels gratuits pour maximiser l’impact.
2/ Des clés pour agir et un sourcing des alternatives au plastique. Il s’agit d’aider les acteurs à identifier ces alternatives intéressantes d’un point de vue environnemental (réemploi, réduction éco-innovation). Au-delà des éco-gestes, nous publions un benchmark qui recense 300 solutions, proposées notamment par des start up, en France et à l’international.
3/ La veille et l’alerte sur les enjeux environnementaux et sanitaires.
Cette action continue est renforcée pendant le No Plastic Challenge via les réseaux sociaux, la presse ou des enquêtes (par exemple sur la restauration à emporter). Elle permet une prise de conscience des enjeux : organisation de conférences sur les risques sanitaires (micro plastiques, additifs chimiques perturbateurs endocriniens..).
Lieu de réalisation du projet
La portée du projet est sur le territoire français (et francophone) mais certains supports sont traduits pour des demandes occasionnelles à l’étranger (Espagnol et anglais). En revanche, notre veille et notre sourcing des solutions sont réalisés à l’international.
euros sont demandés pour la mise en place du projet
Utilisation prévue de ce montant
Frais d’actualisation et de conception des 30 supports et visuels du challenge : 10 000 euros (une partie est réalisée gracieusement)
– Salaire chargé de mobilisation et communication alternant : 10 000 euros
– Frais matériels (impression, routage, logiciels, site web) et déplacements : 10 000 euros
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